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JULIBEL, le français d'aujourd'hui : plus de 9000 fiches Base de données initiée à la rédaction de LMDP |
SOMMAIRE |
Article paru dans le numéro 112 (mars 2003) Mise à jour 08.2017
©
LMDP
Copie autorisée pour usage pédagogique non lucratif et avec mention de la
source
Atelier d’écriture : auto-biographie –
Racines égyptiennes
annexes:
Epreuve certificative
de l’atelier Racines: Grille d’évaluation
5e
P vente-hôtellerie (4 périodes/semaine) – ISM Couvin |
Récit :
Christiane Goffard |
La
parole au programme :
Fiche
2 - Ecrire-Parler-Lire : Rédiger et/ou dire un texte
d’expression personnelle en sollicitant son vécu et son imagination, en développant
sa créativité verbale tout en respectant certaines contraintes formelles et
langagières.
Fiche
4 - Lire-Ecouter-Ecrire : Conduire une recherche d’informations
dans des ouvrages de référence divers ; prendre des notes de manière
structurée pour garder des traces et s’assurer de la compréhension des
informations ; réorganiser celles-ci de manière originale et attractive.
Pistes :
Biographie
en partie fictive, imaginaire
Jeu
entre imaginaire et réalité, soi et autre, caché et découvert
Perception
des représentations d’une civilisation, des clichés
Approches
du genre biographie par le biais de différents auteurs [voir annexes]
Ecriture,
réécriture
Travail
de présentation
…
Phase 1 : Autour du mot
voyage
a. Création d’une liste de mots – Liste idéelle (à quoi le mot voyage
fait-il penser ?) – Liste matérielle (avec quels mots le mot voyage
résonne-t-il phonétiquement ?)
Chacun cherche
une dizaine de mots dans chaque liste ; mise en commun au tableau.
b. Ecriture d’un petit texte
autour du voyage en utilisant une vingtaine des mots de la bourse commune
c. Lecture expressive en petits
groupes ou devant la classe suivant le nombre
d. Echange autour des productions
e. Ré-écriture en tenant compte de
la grille d’évaluation commentée ensemble [voir annexes].
Phase 2 : Autour de l’Égypte
a. Chacun note ce que l’Égypte évoque
pour lui (minimum 20 mots). Mise en commun.
b. Recherche documentaire dans des
prospectus touristiques (clichés), des guides de voyages, sur Internet, pour
compléter et préciser la première approche.
c. Elaboration d’une liste matérielle
de mots autour du mot Égypte
d. Rédaction individuelle d’un
texte puisant dans les deux listes de mots et qui comprend les débuts de
phrases suivantes : Je suis né à… Suite à… J’ai grandi à…
e. Lecture expressive des
productions et échange d’impressions
f. Travail, révision des
outils qui s’avèrent nécessaires ; par exemple : le passé simple
(sa forme, sa valeur).
Phase 3 : Bain de textes frères – Biographies
a. Lecture individuelle de deux ou
trois textes frères [voir annexes] : début
de biographies imaginaires et vécues ; et choix de celle qui semble la
plus proche de son écrit personnel.
Christiane
Rochefort, Les petits enfants du siècle Simone
de Beauvoir, Mémoires d’une jeune fille rangée Mességué,
Des hommes et des plantes Julos
Beaucarne écrit pour vous |
Daudet,
Le petit Chose Marion,
Je suis née François
René Chateaubriand Jean-Jacques
Rousseau |
b. En groupes, lecture de
l’extrait choisi par chacun
c. Recherche en groupe des critères
communs entre les productions du groupe et les textes-frères pour élaborer une
fiche d’évaluation formative du texte ré-écrit
d. Elaboration de la grille d’évaluation
du textes Racines concernant le contenu, la langue et la présentation.
[voir annexes]
Phase 4 :
Ré-écriture de son texte Racines égyptiennes
a. Avec d’évaluation élaborée
ensemble, chacun reprend son texte Je suis né à… et l’améliore
la grille, d’abord seul puis avec l’aide d’un autre de la classe.
b. Chacun recopie son texte au
propre sur une feuille destinée à être affichée, l’illustre, la décore
avec des dessins, collages d’illustrations tirées des prospectus de voyage,
d’Internet…
c. Chacun coche dans la grille d’évaluation
ce qu’il a réalisé.
Phase 5 : Ouvertures
Suivant l’intérêt du groupe
Analyse de films : Mission Cléopâtre ; Mort sur le
Nil.
Lecture
de BD : Edgar P. Jacobs, Le mystère de la grande pyramide (Blake et
Mortimer) ; Hergé, Les cigares du pharaon [Tintin] ; Jacques
Martin, Le sphinx d’or [Alix]
Lecture
de romans : Christian Jacq
Ce
cours a suscité un intérêt très grand pour l’Égypte : les élèves
ont demandé pour aller visiter une exposition sur les Beautés d’Égypte
au Musée du Malgré-Tout à Treignes ; une a apporté une vidéo présentant
les grands sites archéologiques ; un autre, des dossiers complémentaires
consacrés à différents aspects de l’Égypte. Certains sont devenus
incollables sur les dieux, certains grands pharaons… ce qui a contribué à
la rédaction de textes précis, fidèles à l’histoire et à la géographie
à l’intérieur desquels s’est glissée leur imagination parfois
surprenante.
En
écrivant, l'élève acquiert une forme nouvelle de pensée; ses pouvoirs et sa
relation au monde s'en trouvent modifiés.
Danièle Manesse, Enseigne-t-on le français ?,
Cédic éd. 1975, p. 61.
1. Epreuve certificative
de l’atelier Racines – Grille d’évaluation
A. CONTENU 1.
Je présente le contexte, par exemple (2 points minimum) : - je cite le lieu
- je précise l’époque
- je décris le décor
(environnement, flore, faune, climat…) - je présente la manière de vivre (habitudes, activités, culture,
croyances…). 2.
Je respecte la réalité de ces données (j’ai vérifié auprès
de sources). 3.
Je me présente, par exemple (3 points minimum) : - je raconte ma naissance
- je raconte un épisode de
mon enfance - je me décris
physiquement - je donne les grandes
lignes de ma personnalité - j’exprime mes
sentiments - j’explique mes activités
- je présente ma famille
- je présente l’un ou
l’autre membre particulier - j’explique les valeurs,
les traditions de ma famille - je relate mon évolution
de vie - je raconte des événements
forts de ma vie… 4.
Je vérifie la cohérence de mon histoire. 5.
Je mets de l’humour
B.
LANGUE 1.
J’utilise des termes propres à la culture égyptienne. 2.
Je cite des noms de lieux typiques égyptiens. 3.
J’utilise des mots qui jouent avec les sonorités. 4.
J’utilise des adjectifs visuels. 5.
J’évite il y a… en choisissant des verbes précis. 6.
J’évite de répéter les mêmes mots en peu de temps. 7.
Je conjugue correctement le passé simple (je vérifie dans une
grammaire). … C.
PRÉSENTATION 1.
J’écris lisiblement, sans rature. 2.
J’illustre par des dessins, photos, collage, musique… 3.
Je lis mon texte avec expression. 4.
J’affiche ma production terminée. D.
ÉVALUATION & ANALYSE RÉFLEXIVE 1.
J’ai respecté les différentes consignes entourées d’un
cercle et le nombre minimum demandé. 2.
Je note trois questions qui me viennent à partir de cet atelier. 3.
A partir de ces questions, je rédige quelques lignes sur ce que
cet atelier m’a apporté. 4. J’ai rempli cette
fiche d’évaluation. |
Evaluation élève |
Evaluation prof |
2. Réécriture du premier jet de Autour du voyage
En
lien avec la fiche 2 : Ecrire-Parler-Lire – Rédiger et/ou
dire un texte d’expression personnelle en sollicitant son vécu et son
imagination, en développant sa créativité verbale tout en respectant
certaines contraintes formelles et langagières.
Format
A4, portrait (comme l’annexe 1,
ci-dessus)
Les critères : Amélioration
de la première version Présentation
soignée Contenu
original Fin
soignée, cohérente Style
(éviter Il y a… ; de préférence verbe au présent)
Ponctuation
correcte Orthographe
correcte Lecture
expressive |
Le point de vue de l’élève |
Le point de vue du professeur |
1. Christiane ROCHEFORT, Les petits enfants du siècle
Je suis née des Allocations et d’un jour férié
dont la matinée s’étirait, bienheureuse, au son de « Je t’aime Tu
m’aimes» joué à la trompette douce. C’était le début de l’hiver, il
faisait bon dans le lit, rien ne pressait.
A la
mi-juillet, mes parents me présentèrent à l’hôpital. Ma mère avait les
douleurs. On l’examina, et on lui dit que ce n’était pas encore le moment.
Ma mère insista qu’elle avait les douleurs. Il s’en fallait de quinze bons
jours, dit l’infirmière ; qu’elle resserre sa gaine.
Mais est-ce
qu’on ne pourrait pas déclarer tout de même la naissance maintenant ?
demanda mon père. Et on déclarerait quoi ? dit l’infirmière : un
fille, un garçon, ou un veau ? Nous fûmes renvoyés sèchement.
Zut dit mon père
c’est pas de veine, à quinze jours on loupe la prime. Il regarda le ventre de
sa femme avec rancœur. On n’y pouvait rien. On rentra en métro. Il y avait
des bals, mais on ne pouvait pas danser.
Je naquis le
2 août. C’était ma date correcte, puisque je résultais du pont de la
Toussaint. Mais l’impression demeura, que j’étais lambine. En plus
j’avais fait louper les vacances, en retenant mes parents à Paris pendant la
fermeture de l’usine. Je ne faisais pas les choses comme il faut.
2 Simone de BEAUVOIR, Mémoires d’une fille rangée
Je suis née à quatre heures du matin, le 9 janvier 1908, dans une
chambre de meubles laqués de blanc, qui donnait sur le boulevard Raspail. Sur
les photos de famille prises l’été suivant, on voit de jeunes dames en robes
longues, aux chapeaux empanachés de plumes d’autruche, des messieurs coiffés
de canotiers et de panamas qui sourient à un bébé : ce sont mes parents,
mon grand-père, des oncles, des tantes, et c’est moi. Mon père avait trente
ans, ma mère vingt et un, et j’étais leur premier enfant.
3.
Julos BEAUCARNE écrit pour vous
Biographie
je suis né n’importe où
par un froid de canard
je n’avais pas encore la clef du monde
je l’ai trouvée par hasard
sous le paillasson d’un gendarme
et j’ai ouvert en grand secret
pour quelques-uns
le livre double des
amours secrètes et des pactisations ténébreuses avec
le soleil
28
mars 74
4. COTÉ CŒUR, COTÉ JARDIN
LIEGE…
MARION, 20 ans de télévision… ma boîte à malices, Coll.
Inédits
Maman, elle eut la malice de me mettre au monde un jour de Pâques !
« Comme une cloche, comme un œuf» ! n’allait-on pas manquer
depuis de me rebattre les oreilles. Je vis le jour à Rocourt-lez-Liège, au
coin de la chaussée de Tongres et de la rue Visé-voie. Là s’élevait alors
une belle ferme –la ferme de chez Croisier – avec poules, canards et tout ce
qu’il faut pour faire une vraie ferme… ! Même le tas de fumier au
milieu de la cour. Aujourd’hui, l’ensemble est devenu une pompe à
essence… - la poésie fout le camp… Je veux croire qu’on n’y débite que
de la « super», mais quand même, c’est plein de nostalgie que je suis
forcée de constater que le fumier, lui non plus, n’est plus ce qu’il était… !
J’ai dû
attendre un peu pour passer sur les fonts baptismaux. Un peu ! Quelques années…
Ma grand-mère, qui vivait en Auvergne, aurait souhaité que le monde entier fût
baptisé. Au sein de ma famille, personne ne l’était, sauf ma sœur aînée
Marcelle, et la suivante, Madeleine. Alors, pour ne pas faire de peine à
Grand-maman, Madeleine servit de marraine à tout le monde, le même jour. Il y
avait donc mon frère, René, qui à l’époque avait 14 ans, Denise, 12 ans,
et moi, 7 ans. Je crois bien que ce jour-là, nous avons fait – aussi –
notre communion.
5. Maurice MESSÉGUÉ, Des hommes et des plantes, LP
Chez nous on dit qu’ «on ne connaît pas la rivière quand on
n’en connaît pas la source».
La source
c’est mon père. Une source précieuse comme celle de notre coin où l’eau
est rare. Une source pure, fraîche et chantante, entourée de plantes sauvages,
rudes et douces. Je lui dois tout : mon amour de la vie, mes connaissances,
ma réussite. Mon père a entièrement déterminé ma vie et on ne peut la comprendre
si l’on ne comprend pas l’amour que j’ai pour lui.
Je suis né
le dimanche 14 décembre 1921 à 16h30 sous le signe du Sagittaire et par hasard
à Colayrac-Saint-Cirq (Lot-et-Garonne). C’était une erreur de la nature,
vite réparée puisque je n’avais que trois jours quand mes parents sont
revenus à Gavarret dans la maison d’un de mes grands-pères. Et mon
chauvinisme de clocher est tel que je dis toujours : « Je suis né à
Gavarret dans le Gers !» en faisant bien chanter l’s final. C’est
vrai j’ai un accent effroyable, affreux, mais il me fait aimer ces vers de
Mighel Zamacoïs :
…Avoir l’accent, enfin, c’est chaque fois qu’on cause,
Parler de son pays en parlant d’autre chose.
Chaque fois
qu’on m’enregistre, pour la radio ou la télévision, et que je m’entends,
je suis heureux, je ferme les yeux et je revois ma campagne, mes petits chemins,
mes lapins de garenne, je sens la pierraille sous mon pied, et l’odeur de mes
herbes me fait chanter l’imagination…
6. Alphonse DAUDET, Le Petit Chose
LA FABRIQUE
Je suis né le 13 mai 18…, dans une ville du Languedoc où l’on
trouve, comme dans toutes les villes du Midi, beaucoup de soleil, pas mal de
poussière, un couvent de carmélites et deux ou trois monuments romains.
Mon père, M.
Eyssette, qui faisait à cette époque le commerce des foulards, avait, aux
portes de la ville, une grande fabrique dans un pan de laquelle il s’était
taillé une habitation commode, tout ombragée de platanes, et séparée des ateliers
par un vaste jardin. C’est là que je suis venu au monde et que j’ai passé
les premières, les seules bonnes années de ma vie. Aussi ma mémoire
reconnaissante a-t-elle gardé du jardin, de la fabrique et des platanes un
impérissable souvenir, et lorsque à la ruine de mes parents il m’a fallu
me séparer de ces choses, je les ai positivement regrettées comme des êtres.
Je dois dire,
pour commencer, que ma naissance ne porta pas bonheur à la maison Eyssette.
La vieille Annou, notre cuisinière, m’a souvent conté depuis comme quoi mon
père, en voyage à ce moment, reçut en même temps la nouvelle de mon
apparition dans le monde et celle de la disparition d’un de ses clients de
Marseille, qui lui emportait plus de quarante mille francs ; si bien que M.
Eyssette, heureux et désolé du même coup, se demandait, comme l’autre,
s’il devait pleurer pour la disparition du client de Marseille, ou rire pour
l’heureuse arrivée du petit Daniel… Il fallait pleurer, mon bon monsieur
Eyssette, il fallait pleurer doublement.
C’est une vérité,
je fus la mauvaise étoile de mes parents. Du jour de ma naissance,
d’incroyables malheurs les assaillirent par vingt endroits. D’abord nous eûmes
donc le client de Marseille, puis la grève des ourdisseuses, puis notre
brouille avec l’oncle Baptiste, puis un procès très coûteux avec nos
marchands de couleurs, puis, enfin, la révolution de 18… qui nous donna le
coup de grâce.
7.
Chateaubriand,
Mémoires d’Outre-Tombe, 1, L 1, ch. 2, in fine.
J'étais
presque mort quand je vins au jour. Le mugissement des vagues, soulevées par
une bourrasque annonçant l'équinoxe d'automne, empêchait d'entendre mes cris
: on m'a souvent conté ces détails ; leur tristesse ne s'est jamais effacée
de ma mémoire. Il n'y a pas de jour où, rêvant à ce que j'ai été, je ne
revoie en pensée le rocher sur lequel je suis né, la chambre où ma mère
m'infligea la vie, la tempête dont le bruit berça mon premier sommeil, le frère
infortuné qui me donna un nom que j'ai presque toujours traîné dans le
malheur. Le Ciel sembla réunir ces diverses circonstances pour placer dans mon
berceau une image de mes destinées.
8.
Jean-Jacques Rousseau, Confessions,
Livre I, 1712-1728, § 4.
Je suis né à Genève,
en 1712 d'Isaac Rousseau, Citoyen, et de Susanne Bernard, Citoyenne. Un bien
fort médiocre, à partager entre quinze enfants, ayant réduit presque à rien
la portion de mon père, il n'avait pour subsister que son métier d'horloger,
dans lequel il était à la vérité fort habile. Ma mère, fille du ministre
Bernard, était plus riche: elle avait de la sagesse et de la beauté. Ce n'était
pas sans peine que mon père l'avait obtenue. Leurs amours avaient commencé
presque avec leur vie; dès l'âge de huit à neuf ans ils se promenaient
ensemble tous les soirs sur la Treille; à dix ans ils ne pouvaient plus se
quitter. La sympathie, l'accord des âmes, affermit en eux le sentiment qu'avait
produit l'habitude. Tous deux, nés tendres et sensibles, n'attendaient que le
moment de trouver dans un autre la même disposition, ou plutôt ce moment les
attendait eux-mêmes, et chacun d'eux jeta son coeur dans le premier qui
s'ouvrit pour le recevoir. Le sort, qui semblait contrarier leur passion, ne fit
que l'animer. Le jeune amant ne pouvant obtenir sa maîtresse se consumait de
douleur: elle lui conseilla de voyager pour l'oublier. Il voyagea sans fruit, et
revint plus amoureux que jamais. Il retrouva celle qu'il aimait tendre et fidèle.
Après cette épreuve, il ne restait qu'à s'aimer toute la vie; ils le jurèrent,
et le ciel bénit leur serment.
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